Pour les enfants syriens nés au Liban, le risque d’être apatride
Publié le 28 février 2016
L’envoyé spécial des globe-reporters a un dernier rendez-vous à l’Unicef, à Beyrouth. Soha Bsat Boustani répond aux questions de Baptiste, Titouan, Adrien, Yves, Julie, Barbara et Melissa, qui s’inquiètent du sort des milliers d’enfants apatrides qui vivent sur le sol libanais.
Droits humains et solidarité
Voici la dernière interview de la campagne. Une campagne et un entretien qui se termine par un appel au secours : « Jeunes de France et d’Europe, accueillez les réfugiés syriens ».
Soha Bsat Boustani dans son bureau.
Sources sonores
Au Liban, l’Unicef travaille-t-il seulement avec des enfants réfugiés syriens ?
Combien y a-t-il d’enfants apatrides au Liban ? Pourquoi se retrouvent-ils sans nationalité ?
Quels problèmes juridiques cela pose-t-il de ne pas avoir de nationalité ? Comment peuvent-ils retrouver une nationalité ?
Que faites-vous pour les aider ? Travaillez-vous avez l’Etat libanais ? Comment se passent les relations ?
Un dernier mot sur la situation de ces enfants syriens réfugiés ?