Paris 2024 ; les Jeux Olympiques, un rituel bien rodé
Publié le 16 décembre 2020
André-Pierre GOUBERT, directeur du Pôle Olympique et haut niveau au Comité National Olympique Sportif Français, répond aux questions de Blanche, Tancrède, Anna, Raphaël, Daniel, Rafael, Mohamed, Virgile et Gustave. Ces globe-reporters et globe-reportrices sont en CM2.
Éducation, jeunesses et sports
Les Jeux Olympiques d’été de Tokyo qui devaient avoir lieu durant l’été 2020, dans la capitale japonaise, ont été retardés d’un an en raison de l’épidémie de coronavirus. Ils devraient se tenir à l’été 2021. Puis ce sera au tour de Paris d’accueillir les sportifs du monde entier en 2024. Cela semble peut-être encore loin, pourtant beaucoup de gens y travaillent déjà, notamment pour organiser la cérémonie d’ouverture qui rassemble des téléspectateurs du monde entier.
Comment est organisée la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques ? D’où vient la flamme ? Qui la porte ? Les globe-reporters ont bien des questions. Pour avoir des réponses, notre envoyée spéciale, la journaliste Valérie ROHART, contacte le CNOSF, le Comité National Olympique et Sportif Français. Valérie cherche à joindre plus précisément le Service de presse. Il en existe dans toutes les entreprises, administrations ou instances comme le CNOSF. Au sein de ces services, travaillent des attachés.es de presse qui aident les journalistes dans leurs enquêtes.
Plutôt que de téléphoner pour expliquer notre demande, aujourd’hui, il est plus simple d’envoyer un courriel. Quand il existe un site Internet (et c’est le cas pour le CNOSF), il est en général assez simple de trouver des contacts. Il est parfois plus difficile d’obtenir une réponse. Mais par chance, au CNOSF, notre envoyée spéciale reçoit rapidement une réponse de Rose BLONDEL. Rose propose que ce soit André-Pierre GOUBERT qui réponde aux questions des globe-reporters.
Le rendez-vous est fixé le jeudi 3 décembre dans l’après-midi au siège du CNOSF, 1 rue Pierre de Coubertin. On ne peut pas trouver meilleure adresse ! Le CNOSF est installé dans l’un des bâtiments du stade Charléty. Mais surtout, la rue porte le nom de Pierre DE COUBERTIN, l’homme que l’on considère comme le fondateur des Jeux Olympiques modernes en s’inspirant des Jeux Olympiques de l’Antiquité grecque. Rien de plus logique que le CNOSF s’installe à cette adresse.
Dans le hall du CNOSF, d’ailleurs trône une grande statue de Pierre DE COUBERTIN. Dans cet un endroit où l’on favorise le sport, les visiteurs sont invités à prendre l’escalier et monter les marches plutôt que l’ascenseur. Pour les encourager, il est indiqué sur les marches, le nombre de calories que l’on perd en les grimpant.