PVTiste au Québec ; la légende personnelle de Fusée
Publié le 17 janvier 2020
Tessa, Hélèna, Éva, Emma, Chiara et Romane sont les globe-reporters du collège Paul VERLAINE à Paris. Elles réalisent une enquête sur l’intégration des immigrants au Québec et veulent interviewer des personnes de la CITIM (Clef pour l’Intégration au Travail des Immigrants). Notre reporter sur place rencontre Fusée, un Français en Permis Vacances-Travail (PVT) au Québec.
ECONOMIE, HISTOIRE ET POLITIQUE
Dès son arrivée à Montréal, l’envoyée spéciale des globe-reporters, la journaliste Marine LEDUC, contacte la CITIM pour obtenir un rendez-vous. Après plusieurs appels, elle est mise en contact avec Madalina VLASCEANU, chargée de la promotion et des partenariats de la CITIM. C’est par elle qu’elle établit une date et une heure de rendez-vous avec Véronique RIEL, conseillère à l’emploi.
Pour se rendre sur place, Marine descend au métro Berri-UQAM, puis marche quelques minutes pour rejoindre le 1595 rue Saint-Hubert. Elle est accueillie chaleureusement par Véronique qui propose à un Français, bénéficiaire des services de la CITIM, de participer à la rencontre.
Ce Français est Fusée. Il a 37 ans et est arrivé au Québec en juin 2019 avec un Permis Vacances Travail (PVT). Ce visa lui permet de travailler pendant deux ans au Canada. Après cette période, il est possible de demander un permis de résidence, ce que souhaite faire Fusée.
Fusée participe à de nombreuses activités de la CITIM. Même s’il n’a pas encore trouvé d’emploi, la CITIM lui permet de mieux comprendre et d’intégrer la société québécoise. Il nous en dit plus.
Un entretien réalisé en décembre 2019
Sources photographiques
Fusée et Véronique RIEL.
La salle d’accueil de la CITIM.
Un atelier de réseautage à la CITIM - Photo fournie par Fusée
Un atelier de réseautage à la CITIM - Photo fournie par Fusée
Sources sonores
Pouvez-vous vous présenter et pourquoi êtes-vous au Canada ?
Dans quel secteur travaillez-vous maintenant ?
Avez-vous reçu de l’aide de services sociaux pour votre installation ?
Quelle est votre expérience en matière de logement à Montréal ?
Pensez-vous que l’association vous aide suffisamment dans votre quotidien ?