Le recyclage des masques, un défi que tente de relever Terracyle
Publié le 10 mai 2022
Les rédactions de l’École européenne Bruxelles I (Berkendael) et du lycée Jean-Louis CALDERON de Timisoara veulent en savoir plus sur le recyclage des millions de masques qui ont été utilisés pendant la pandémie de la Covid 19. Constance CESAREO de l’entreprise Terracyle répond à toutes leurs questions.
Europe
Que deviennent ces millions de masques que nous utilisons désormais au quotidien sur la planète ? Une question que se pose la rédaction de l’école européenne de Berkendael et celle de Timisoara. Les rédactions unissent leurs forces pour obtenir une interview.
Après une première enquête, les rédacteurs et rédactrices en chef se rendent compte que beaucoup sont jetés le plus souvent à la poubelle ! Mais heureusement, ils et elles découvrent également que certaines entreprises innovantes proposent des solutions pour les recycler.
Notre correspondante en France, la journaliste Leonor LUMINEAU est chargée de poursuivre les investigations. Ensemble, Leonor et la rédaction envoient un mail à Terracycle, une entreprise qui recycle les masques. Sans réponse pendant quelques jours, Léonor tente donc de contacter deux autres entreprises françaises qui recyclent les masques. Ces deux dernières lui répondent qu’elles n’ont pas le temps de répondre à l’interview.
Heureusement, une bonne nouvelle tombe : la rédaction de Bruxelles reçoit une réponse positive de Terracycle. Constance CESAREO qui y travaille est ravie de répondre à nos questions ! Mais cela doit se faire par visioconférence, car l’entreprise n’est installée pas en France ! Un rendez-vous est fixé pour début mai. Et plutôt que de réaliser l’interview seule, Leonor propose à la rédaction d’être aussi en visio.
La date approche quand notre correspondante en France a des soucis de santé. Elle ne peut plus réaliser l’interview. Heureusement, les rédactions d’Europe poétique ont des correspondants qui travaillent en équipe. Leonor transmet alors le témoin à Alain DEVALPO qui est à Bruxelles. Puisque l’interview se réalise à distance, il peut lui aussi la réaliser. C’est donc lui qui prend le relais et organise la rencontre à distance.
Pendant ce temps, à la rédaction, pour préparer l’interview, les apprentis journalistes dessinent un panneau avec le nom du journal du projet « Europe Juniors ». Ils installent un petit studio d’enregistrement dans la classe avec le panneau derrière. Chaque globe-reporters et globe-reportrices a une mission : poser des questions à Constance CESAREO, prendre des photos, prendre des notes ou observer et écouter attentivement les réponses.