La lutte contre le braconnage dans les Hauts-de-France ; peut mieux faire !
Publié le 31 décembre 2020
N’Zo et Florentin s’intéressent au braconnage. Pour faire la lumière sur ce phénomène dans les Hauts-de-France, leur envoyée spéciale interroge Robin QUEVILLART, naturaliste au sein du Groupe ornithologique et naturaliste du Nord - Pas-de-Calais (GON).
La biodiversité dans tous ses états
Le travail journalistique est bien souvent un travail d’équipe. Dans une rédaction, les journalistes s’entrent-aident. C’est souvent le cas en matière de contacts. Et c’est très précieux, car la recherche d’un interlocuteur peut prendre plus ou moins de temps, et les exigences médiatiques ne permettent pas toujours aux journalistes d’attendre.
Dans le cadre de cette interview, Sidonie HADOUX, notre envoyée spéciale, est largement aidée par Romaric CAYET et Arnaud MAHUT, les deux parrains de la rédaction du collège RABELAIS à Hénin-Beaumont. Les étudiants à l’académie ESJ Lille recherchent d’abord à affiner la piste des interlocuteurs. C’est ce que vous explique Arnaud dans sa note vocale, à écouter à la suite de l’interview.
Une fois que nous identifions le GON comme interlocuteur privilégié, il faut les contacter. Arnaud envoie un premier mail laissé plusieurs jours sans réponse. Sidonie tente de les joindre par téléphone à plusieurs reprises. Finalement, ça décroche ! Les salariés du groupe sont en télétravail, il n’est donc pas facile de les joindre via le numéro du bureau. Le rendez-vous est fixé au lundi 14 décembre à 17h00. Sidonie s’y rend accompagnée de Romaric.
Robin QUEVILLART nous accueille avec le sourire, dans des locaux entièrement vides de ses salariés. Le naturaliste nous invite à nous assoir sur un canapé, dans une petite pièce à l’entrée. L’interview peut commencer. C’est Romaric qui s’en charge. Il ouvre l’enregistreur, tend le micro, et pose les questions des globe-reporters. À la fin de l’interview, Romaric pose ses propres questions qu’il a consciencieusement rédigées en préparant le sujet. Il vous explique également dans une note vocale comment préparer une bonne interview.
À la fin de l’interview, Sidonie prend le relais pour réaliser le portrait de notre interlocuteur. Il fait nuit noire dehors. La photographe ne peut échapper aux néons de la lumière artificielle. Ce n’est pas les conditions lumineuses idéales pour un portrait. Robin pose une paire de jumelles sur son bureau pour jouer la mise en scène. Puis, il nous montre un livre édité par le GON, et s’arrête à la page du martin-pêcheur. Vous comprendrez pourquoi en écoutant l’interview !