France et industrie automobile : déjà une longue route
Publié le 5 décembre 2021
Alexandre, Mali, Marchilino et Serge s’interrogent sur les voitures qui transportent les Français qui leur paraissent bien différentes de celles du Québec. François ROUDIER, porte-parole de la Plateforme automobile partage avec eux sa connaissance de cette industrie.
ECONOMIE, HISTOIRE ET POLITIQUE
Les rédacteurs en chef Alexandre, Mali, Marchilino et Serge missionnent leur envoyée spéciale, la journaliste Léa VILLALBA, pour savoir si en France il est possible de changer sa plaque d’immatriculation ou encore quelles marques sont populaires dans le pays et bien d’autres questions sur les l’automobile.
Au cours de leurs recherches, ils croisent plusieurs personnalités susceptibles d’assouvir leur curiosité :
- Jean-Baptiste DJEBBARI, le ministre délégué chargé des transports ;
- Jaques BANDRIER, adjoint à la mairie de Paris ;
- Didier LALLEMENT, préfet de police de Paris ;
- Jérôme DAUMONT, le président du Groupement des concessionnaires Renault.
Mais, pour Léa, c’est mission impossible. D’une part, s’introduire en tant que journaliste dans l’agenda de personnalités très occupées est un petit exploit. Puis l’interview proposée n’est pas « anglée ». C’est à dire que la thématique des questions est très large. Les questions sont très variées et les personnes mises de l’avant ne pourraient pas répondre à toutes. Il faudrait presque interviewer plusieurs d’entre eux.
Notre journaliste contacte alors la Prévention routière. Cette association est présente sur tout le territoire national, en région et dans les départements, y compris en outre-mer. Elle décide en parallèle d’écrire à plusieurs magazines spécialisés en automobile. Des journalistes et/ou chroniqueurs pourraient certainement répondre aux questions concernant les chiffres de ventes par exemple, les marques les plus populaires, etc.
Les messages envoyés aux confrères des magazines ne reçoivent pas de réponse. Léa échange quelques courriels avec la Sécurité routière, mais n’obtient pas de rendez-vous non plus. Son interlocuteur lui dit ne pouvoir répondre qu’à deux questions sur les dix.
Ces premières pistes ne débouchant sur rien de concret, Léa commence alors à désespérer. Qui trouver pour concrétiser cette interview sur les voitures ?
À tout hasard, pendant sa rencontre avec Fabien OPPERMANN qui répond à des questions sur le château de Versailles, Léa lui parle des autres sujets imaginés par les globe-reporters et lui demande son avis concernant l’interview « automobile ». Il lui parle alors de La Plateforme automobile. Le soir même, elle envoie un courriel. Le lendemain matin, une réponse positive arrive avec une proposition d’entretien qui doit se réaliser par téléphone. Le rendez-vous est fixé quelques heures plus tard.
Alors que l’heure de retrouver Monsieur ROUDIER par téléphone approche, notre envoyée spéciale cherche un endroit où il est possible de réaliser un enregistrement. Elle entre dans un salon de thé, mais pas de chance, la musique est bien trop forte. Le son ne sera pas audible. Elle décide alors de s’installer dehors malgré la pluie. Elle trouve un abri. Et là encore, pas de chance. Elle est proche de l’aéroport d’Orly et des avions passent assez régulièrement. Pour laisser passer les avions et éviter le bruit des décollages qui couvre les propos de notre interlocuteurs, elle l’interrompt parfois. Ce dernier est sympathique et compréhensible. Il rigole de la situation.
Nous apprenons que La Plateforme automobile (PFA) rassemble la filière automobile de France. Elle définit la stratégie en termes d’innovation, de compétitivité, d’emploi et de compétence aux noms de l’ensemble des partenaires. Elle fédère 4 000 entreprises du secteur automobile du territoire français. Enfin, la PFA gère aussi le Mondial de l’auto, un salon très important.
La persévérance de notre journaliste est récompensée. François ROUDIER répond à toutes les questions posées par les globe-reporters ! Du contenu pertinent et complet qui va permettre d’écrire un bel article !
