Les CM1 de l’école Saint-Sébastien dans le 11ème arrondissement de Paris voudraient savoir ce que l’on mangera dans le futur. Cécile POIGNANT, prospectiviste, répond à toutes leurs questions avec plaisir.
Environnement et transition énergétique
Les globe-reporters et globe-reportrices de l’école Saint-Sébastien sont inquiets pour leur estomac : dans le futur, que restera-t-il à manger ? Et toutes ces questions, ils les ont transformées en une interview. Dès qu’elle la reçoit leur envoyée spéciale, Océane SEGURA, se lance à la recherche de contacts. Elle se tourne d’abord du côté des chercheurs et chercheuses qui travaillent sur l’alimentation du futur. La journaliste ne trouve pas beaucoup de profils qui correspondent à ce que recherchent la classe-rédaction du 11ème arrondissement de Paris mais elle contacte tout de même plusieurs personnes.
Cette fois, la chance n’est pas de son côté : certains ne répondent pas, d’autres sont trop occupés, d’autres encore ont déménagé à l’étranger… Océane ne baisse pas les bras et continue de se renseigner. C’est à ce moment-là qu’elle tombe sur Cécile POIGNANT.
Son métier est un peu différent de celui d’une chercheuse mais l’envoyée spéciale se dit que c’est justement l’occasion pour les journalistes en herbe de découvrir une nouvelle profession car Cécile POIGNANT est prospectiviste. Elle analyse les tendances et essaie de prédire les mouvements de société afin d’aider les marques à se préparer pour le futur. Elle a justement travaillé sur l’alimentation.
Quelques minutes après lui avoir envoyé un mail, la journaliste reçoit déjà une réponse positive de Cécile POIGNANT. Très motivée à l’idée répondre à l’interview des CM1, elle se rend disponible dès le mercredi suivant.
Le jour J, l’envoyée spéciale de l’école Saint-Sébastien part de bon matin pour rejoindre la prospectiviste au Café Nemours dans le premier arrondissement de Paris. Elle prend la ligne de métro 1 jusqu’à l’arrêt Palais Royal - Musée du Louvre puis, elle passe devant le Conseil d’État avant de rejoindre la place Colette où se trouve le café. Au moment où elle arrive Océane reçoit un message de Cécile POIGNANT la prévenant qu’elle porte « une toque en fausse fourrure blanche », un signe distinctif qui permet à la journaliste de la retrouver très facilement.
Une fois installées autour d’un café, elles échangent quelques minutes sur Globe Reporters puis l’interview peut débuter. Après avoir répondu à toutes les questions de la classe-rédaction, Cécile POIGNANT explique à Océane qu’elle serait ravie de venir à la rencontre des globe-reporters et globe-reportrices directement en classe pour continuer à échanger sur l’alimentation et sa durabilité. Un rendez-vous qui aura peut-être lieu une prochaine fois !
