« La santé pour tous, une utopie au Liban »

Publié le 14 février 2016

Madeleine Badaro Taha est pédopsychiatre. Elle connaît bien le système de santé libanais, pour y travailler depuis de longues années. Elle répond aux questions d’Ines, Lu Ann et Dilan, élèves de seconde au lycée Albert Einstein, à Sainte-Geneviève-des-Bois.

Vie quotidienne

Sources photographiques

Madeleine Badaro Taha
Madeleine Badaro Taha
L’enseigne du cabinet de Madeleine
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L’enseigne du cabinet de Madeleine
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Sources sonores

  • Pouvez-vous vous présenter et nous expliquer pourquoi vous pouvez répondre à ce questionnaire ?

  • La condition sociale a-t-elle de l’influence sur la prise en charge médicale ? Les religions ont-elles de l’influence sur la prise en charge médicale ?

  • Y a-t-il un système d’assurance maladie similaire à celui de la France ?

  • Quel est le prix d’une consultation ?

  • Quelles sont les différences entre les systèmes de santé français et libanais ?

  • Y a-t-il une différence entre la ville et les montagnes ?

  • La guerre a-t-elle eu un impact sur la prise en charge et sur les infrastructures destinées aux soins ? Le système était-il plus performant avant ?

  • Dans le privé, y a-t-il des secteurs de pointe ? Attirent-ils des patients de pays étrangers ?

  • Quelle est la politique du ministère de la Santé ? A-t-il les moyens et la volonté de faire avancer les choses ?

  • Les étrangers qui vivent au Liban, comme les Palestiniens ou maintenant les réfugiés syriens, ont-ils accès au système de santé libanais ?

  • Si vous deviez proposer un titre pour cet article, quel serait-il ?

Téléchargements

Les partenaires de la campagne

  • Région PACA
  • Institut français du Liban
  • Fondation SNCF