Les souks de Tripoli, une ex-zone interdite

Publié le 30 janvier 2016

Comment vit-on quand les mortiers pleuvent et quand les balles sifflent ? Carole est française. Elle travaille au Lycée Alphonse de Lamartine de Tripoli, dans le nord du Liban. Elle partage son expérience avec les globe-reporters. Un témoignage qui sera suivi d’autres sur le même sujet.

Carnet de route

Quand on est à Tripoli, faire un tour aux souks le samedi matin semble la chose la plus normale. Ce n’est pourtant possible que depuis peu. Carole qui vit dans la région depuis 2012 nous sert de guide.

Sources photographiques

Carole vit à quelques kilomètres de Tripoli. De sa terrasse, on aperçoit la ville. On entend aussi les coups de feu.
Carole vit à quelques kilomètres de Tripoli. De sa terrasse, on aperçoit la ville. On entend aussi les coups de feu.
Nous voici au cœur de Tripoli. Depuis la citadelle, on surplombe les toits des souks au premier plan.
Nous voici au cœur de Tripoli. Depuis la citadelle, on surplombe les toits des souks au premier plan.
Plus loin, la ville nouvelle. À gauche, c’est la direction de Beyrouth. À droite, c’est la direction de la Syrie.
Plus loin, la ville nouvelle. À gauche, c’est la direction de Beyrouth. À droite, c’est la direction de la Syrie.
Une rue qui descend de la citadelle vers les souks.
Une rue qui descend de la citadelle vers les souks.
La présence militaire est très importante. Hommes armés, chars… On en croise à tous les coins de rue.
La présence militaire est très importante. Hommes armés, chars… On en croise à tous les coins de rue.
Au cœur des souks, confiseries.
Au cœur des souks, confiseries.
Marchand de jus d’orange frais.
Marchand de jus d’orange frais.
Un cordonnier.
Un cordonnier.
Un boulanger.
Un boulanger.
Le marchand de fruits.
Le marchand de fruits.
Le marchand de café.
Le marchand de café.
Le marchand de robes de mariée.
Le marchand de robes de mariée.
Le marchand de sandwichs.
Le marchand de sandwichs.
Un p’tit sandwich pour la route.
Un p’tit sandwich pour la route.
Ou alors, un restaurant traditionnel.
Ou alors, un restaurant traditionnel.
Carole et Pascal qu’on a rencontré dans l’article « Pascal, un enseignant français au Liban ».
Carole et Pascal qu’on a rencontré dans l’article « Pascal, un enseignant français au Liban ».
Deux enfants des souks de Tripoli.
Deux enfants des souks de Tripoli.
Carole vit à quelques kilomètres de Tripoli. De sa terrasse, on aperçoit la ville. On entend aussi les coups de feu.
Nous voici au cœur de Tripoli. Depuis la citadelle, on surplombe les toits des souks au premier plan.
Plus loin, la ville nouvelle. À gauche, c’est la direction de Beyrouth. À droite, c’est la direction de la Syrie.
Une rue qui descend de la citadelle vers les souks.
La présence militaire est très importante. Hommes armés, chars… On en croise à tous les coins de rue.
Au cœur des souks, confiseries.
Marchand de jus d’orange frais.
Un cordonnier.
Un boulanger.
Le marchand de fruits.
Le marchand de café.
Le marchand de robes de mariée.
Le marchand de sandwichs.
Un p’tit sandwich pour la route.
Ou alors, un restaurant traditionnel.
Carole et Pascal qu’on a rencontré dans l’article « Pascal, un enseignant français au Liban ».
Deux enfants des souks de Tripoli.

Sources sonores

  • Carole se présente et explique l’endroit où nous nous trouvons et ce que nous voyons.

  • À quoi pensez-vous en regardant ce panorama ?

  • On entend parler de tirs de joie ? Qu’est-ce que c’est ?

  • Est-ce que cela pose des problèmes dans la vie quotidienne ?

  • Est-ce que ce climat de conflit a des répercussions sur les études des jeunes de votre établissement ?

  • Avec la guerre en Syrie qui est toute proche, est-ce que les choses ont changé ?

  • Pourquoi avez-vous accepté de venir travailler à Tripoli ?

Téléchargements

Les partenaires de la campagne

  • Région PACA
  • Institut français du Liban
  • Fondation SNCF