Beyrouth XXI, le paradis des architectes fous

Publié le 12 mars 2016

Une dernière interview rue Clémenceau offre l’occasion d’une ballade dans le centre-ville rénové de Beyrouth.

Carnet de route

Sources photographiques

La tour la plus haute de la ville depuis le carrefour de Sodeco.
La tour la plus haute de la ville depuis le carrefour de Sodeco.
Au bas de la Place des martyrs, les sommets enneigés sont visibles.
Au bas de la Place des martyrs, les sommets enneigés sont visibles.
L’entrée du nouveau quartier des Souks.
L’entrée du nouveau quartier des Souks.
Difficile de sortir un appareil photo. Les curieux ne sont pas les bienvenus.
Difficile de sortir un appareil photo. Les curieux ne sont pas les bienvenus.
Un centre-ville remis à neuf après la guerre civile.
Un centre-ville remis à neuf après la guerre civile.
Une entrée des Souks de Beyrouth.
Une entrée des Souks de Beyrouth.
De larges avenues pietonnes.
De larges avenues pietonnes.
Des boutiques de marque comme dans toutes les grandes-villes du monde, rien à voir avec un souk traditionnel.
Des boutiques de marque comme dans toutes les grandes-villes du monde, rien à voir avec un souk traditionnel.
De larges avenues qui débouchent sur la mer.
De larges avenues qui débouchent sur la mer.
Les architectes fous s’en donnent à coeur joie.
Les architectes fous s’en donnent à coeur joie.
Pas beaucoup de monde. Beaucoup trop de barrages militaires qui interdisent l’accès à de nombreuses rues.
Pas beaucoup de monde. Beaucoup trop de barrages militaires qui interdisent l’accès à de nombreuses rues.
Un quartier neuf qui n’a pas encore d’âme.
Un quartier neuf qui n’a pas encore d’âme.
Beaucoup de bureaux, peu d’habitants.
Beaucoup de bureaux, peu d’habitants.
Beyrouth, une ville aimable malgré tout.
Beyrouth, une ville aimable malgré tout.
La tour la plus haute de la ville depuis le carrefour de Sodeco.
Au bas de la Place des martyrs, les sommets enneigés sont visibles.
L’entrée du nouveau quartier des Souks.
Difficile de sortir un appareil photo. Les curieux ne sont pas les bienvenus.
Un centre-ville remis à neuf après la guerre civile.
Une entrée des Souks de Beyrouth.
De larges avenues pietonnes.
Des boutiques de marque comme dans toutes les grandes-villes du monde, rien à voir avec un souk traditionnel.
De larges avenues qui débouchent sur la mer.
Les architectes fous s’en donnent à coeur joie.
Pas beaucoup de monde. Beaucoup trop de barrages militaires qui interdisent l’accès à de nombreuses rues.
Un quartier neuf qui n’a pas encore d’âme.
Beaucoup de bureaux, peu d’habitants.
Beyrouth, une ville aimable malgré tout.

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