Première ballade dans Port au Prince

Publié le 7 janvier 2012

Vendredi 6 janvier 2012, c’est la première découverte de Port au Prince.

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Sources photographiques

Autre moyen de transport ; le taxi moto très pratique dans les embouteillages de la capitale. Aux carrefours, les motos attendent les clients.
Autre moyen de transport ; le taxi moto très pratique dans les embouteillages de la capitale. Aux carrefours, les motos attendent les clients.
C’est maintenant une moto taxi que nous dépassons.
C’est maintenant une moto taxi que nous dépassons.
Depuis la rue qui passe devant le palais, nous constatons les dégâts liés au tremblement de terre.
Depuis la rue qui passe devant le palais, nous constatons les dégâts liés au tremblement de terre.
En direction du centre-ville, nous dépassons le mode de transport local le plus utilisé par la population ; le tap-tap.
En direction du centre-ville, nous dépassons le mode de transport local le plus utilisé par la population ; le tap-tap.
En tournant le dos au palais, voici le campement du Champ de Mars du nom de la place publique envahie par les tentes après le séisme.
En tournant le dos au palais, voici le campement du Champ de Mars du nom de la place publique envahie par les tentes après le séisme.
Le contraste haïtien. Au-dessus du campement de fortune de l’aéroport s’élève une publicité en anglais pour de belles maisons à louer.
Le contraste haïtien. Au-dessus du campement de fortune de l’aéroport s’élève une publicité en anglais pour de belles maisons à louer.
Le temps semble figé. Il semble que rien n’ait été fait depuis le 12 janvier 2010. C’est étrange ? Pourquoi ?
Le temps semble figé. Il semble que rien n’ait été fait depuis le 12 janvier 2010. C’est étrange ? Pourquoi ?
Nous approchons du centre-ville par l’avenue Lamartinière. Nous sommes dans le quartier de Bois Verna. Voici les affiches au croisement avec l’avenue Christophe.
Nous approchons du centre-ville par l’avenue Lamartinière. Nous sommes dans le quartier de Bois Verna. Voici les affiches au croisement avec l’avenue Christophe.
Nous passons à la hauteur de l’aéroport Toussaint Louverture. Une affiche souhaite « Bienvenue en Haïti ». Sous l’affiche, des toiles de tente. C’est un campement de gens dont le logement a été détruit par le tremblement de terre du 12 janvier 2010. Depuis cette date des dizaines de milliers de personnes vivent dans des conditions précaires à Port au Prince.
Nous passons à la hauteur de l’aéroport Toussaint Louverture. Une affiche souhaite « Bienvenue en Haïti ». Sous l’affiche, des toiles de tente. C’est un campement de gens dont le logement a été détruit par le tremblement de terre du 12 janvier 2010. Depuis cette date des dizaines de milliers de personnes vivent dans des conditions précaires à Port au Prince.
Nous voici rue Durand. Nous apercevons le palais présidentiel.
Nous voici rue Durand. Nous apercevons le palais présidentiel.
N’allez pourtant pas imaginer que toutes les maisons de Port au Prince sont à terre. La grande majorité des gens vit sous un vrai toit. Nous voici de retour devant la maison où je suis hébergé. Vite une bonne douche froide car cette première ballade m’a donné chaud !
N’allez pourtant pas imaginer que toutes les maisons de Port au Prince sont à terre. La grande majorité des gens vit sous un vrai toit. Nous voici de retour devant la maison où je suis hébergé. Vite une bonne douche froide car cette première ballade m’a donné chaud !
Pour cette première ballade, je prends un taxi. Mais comment reconnaître un taxi à Port au Prince ? Facile ! Il faut regarder la plaque d’immatriculation arrière. Si il est écrit TP (transport public), c’est un taxi. Autre signe ; un ruban rouge attaché au rétroviseur.
Pour cette première ballade, je prends un taxi. Mais comment reconnaître un taxi à Port au Prince ? Facile ! Il faut regarder la plaque d’immatriculation arrière. Si il est écrit TP (transport public), c’est un taxi. Autre signe ; un ruban rouge attaché au rétroviseur.
Autre moyen de transport ; le taxi moto très pratique dans les embouteillages de la capitale. Aux carrefours, les motos attendent les clients.
C’est maintenant une moto taxi que nous dépassons.
Depuis la rue qui passe devant le palais, nous constatons les dégâts liés au tremblement de terre.
En direction du centre-ville, nous dépassons le mode de transport local le plus utilisé par la population ; le tap-tap.
En tournant le dos au palais, voici le campement du Champ de Mars du nom de la place publique envahie par les tentes après le séisme.
Le contraste haïtien. Au-dessus du campement de fortune de l’aéroport s’élève une publicité en anglais pour de belles maisons à louer.
Le temps semble figé. Il semble que rien n’ait été fait depuis le 12 janvier 2010. C’est étrange ? Pourquoi ?
Nous approchons du centre-ville par l’avenue Lamartinière. Nous sommes dans le quartier de Bois Verna. Voici les affiches au croisement avec l’avenue Christophe.
Nous passons à la hauteur de l’aéroport Toussaint Louverture. Une affiche souhaite « Bienvenue en Haïti ». Sous l’affiche, des toiles de tente. C’est un campement de gens dont le logement a été détruit par le tremblement de terre du 12 janvier 2010. Depuis cette date des dizaines de milliers de personnes vivent dans des conditions précaires à Port au Prince.
Nous voici rue Durand. Nous apercevons le palais présidentiel.
N’allez pourtant pas imaginer que toutes les maisons de Port au Prince sont à terre. La grande majorité des gens vit sous un vrai toit. Nous voici de retour devant la maison où je suis hébergé. Vite une bonne douche froide car cette première ballade m’a donné chaud !
Pour cette première ballade, je prends un taxi. Mais comment reconnaître un taxi à Port au Prince ? Facile ! Il faut regarder la plaque d’immatriculation arrière. Si il est écrit TP (transport public), c’est un taxi. Autre signe ; un ruban rouge attaché au rétroviseur.

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