Auparavant, à Tozeur, il y avait des centaines de sources d’eau. Elles se tarissent petit à petit. Explications de Ridha Rekik.
A quelques mêtres, le golf de Tozeur. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, il n’est pas directement responsable du tarissement des sources. Il a été construit après la disparition des eaux de surface. Il utilise les eaux usées.
Au approches du belvédère, les forages vont à plus de 600 mètres de profondeur.
Au Belvédère, le visiteur est accueuilli par ces vers du poête Abou El Kassem Chebri, originaire de Tozeur.
Ce forage est celui d’un particulier pour irriguer sa parcelle. Un forage représente un investissement que certains agriculteurs ne peuvent pas réaliser.
Des canneaux la conduisent vers les plantations.
L’eau de surface qui était anciennement gratuite a laissé place à l’eau des forages qui est payante.
L’eau qui jaillit est désormais celle qui provient de forage.
L’eau s’écoule vers l’ancienne palmeraie de Tozeur.
Les touristes ne viennent plus au belvédère pour se baigner dans les eaux des sources. Ils peuvent juste observer le paysage.
Nos guides, Amara à gauche et Rekik à droite.
Nous voici où jaillissaient les sources qui irriguaient l’oasis. L’homme a beau avoir creusé, les sources sont aujourd’hui taries.