Ballade dans le village de Minta

Publié le 17 mars 2008

Photos prises dans le village de Minta.

Pays Dogon

Sources photographiques

Grenier où l’on entrepose le mil quand il est récolté.
Grenier où l’on entrepose le mil quand il est récolté.
La cloche qui sonne la fin de la récréation.
La cloche qui sonne la fin de la récréation.
La journée se termine par une partie de foot.
La journée se termine par une partie de foot.
La nouvelle école à la sortie du village.
La nouvelle école à la sortie du village.
Lorsqu’il faut prendre une décision, le chef du village réunit ses conseillers pour palabrer.
Lorsqu’il faut prendre une décision, le chef du village réunit ses conseillers pour palabrer.
L’ancienne école du village. En attendant que toutes les nouvelles classes soient construites, les cours continuent.
L’ancienne école du village. En attendant que toutes les nouvelles classes soient construites, les cours continuent.
L’école a aussi un puits. C’est une révolution. Les enfants peuvent boire, se laver les mains et arroser les arbres de la cour.
L’école a aussi un puits. C’est une révolution. Les enfants peuvent boire, se laver les mains et arroser les arbres de la cour.
Pompe à pied qui permet à cet homme d’entretenir un maraîchage.
Pompe à pied qui permet à cet homme d’entretenir un maraîchage.
Pour fabriquer de la farine, les femmes passent des heures à moudre le mil.
Pour fabriquer de la farine, les femmes passent des heures à moudre le mil.
Pour les constructions, les habitants mélangent de la boue et de la paille mil. Les briques sèchent au soleil avant de servir.
Pour les constructions, les habitants mélangent de la boue et de la paille mil. Les briques sèchent au soleil avant de servir.
Puisard dans la cour d’une maison. Lors de l’hivernage (juin/octobre), il se rempli des eaux de pluies. Mais dès le mois de mars, il est vide.
Puisard dans la cour d’une maison. Lors de l’hivernage (juin/octobre), il se rempli des eaux de pluies. Mais dès le mois de mars, il est vide.
Sur le chemin de l’école.
Sur le chemin de l’école.
Un moulin à mil, le rêve des femmes maliennes. Elles n’ont plus à moudre le mil à la main.
Un moulin à mil, le rêve des femmes maliennes. Elles n’ont plus à moudre le mil à la main.
Une classe de la nouvelle école.
Une classe de la nouvelle école.
Une rue au petit matin.
Une rue au petit matin.
« Le pigeon volant », une bicyclette chinoise très solide.
« Le pigeon volant », une bicyclette chinoise très solide.
Grenier où l’on entrepose le mil quand il est récolté.
La cloche qui sonne la fin de la récréation.
La journée se termine par une partie de foot.
La nouvelle école à la sortie du village.
Lorsqu’il faut prendre une décision, le chef du village réunit ses conseillers pour palabrer.
L’ancienne école du village. En attendant que toutes les nouvelles classes soient construites, les cours continuent.
L’école a aussi un puits. C’est une révolution. Les enfants peuvent boire, se laver les mains et arroser les arbres de la cour.
Pompe à pied qui permet à cet homme d’entretenir un maraîchage.
Pour fabriquer de la farine, les femmes passent des heures à moudre le mil.
Pour les constructions, les habitants mélangent de la boue et de la paille mil. Les briques sèchent au soleil avant de servir.
Puisard dans la cour d’une maison. Lors de l’hivernage (juin/octobre), il se rempli des eaux de pluies. Mais dès le mois de mars, il est vide.
Sur le chemin de l’école.
Un moulin à mil, le rêve des femmes maliennes. Elles n’ont plus à moudre le mil à la main.
Une classe de la nouvelle école.
Une rue au petit matin.
« Le pigeon volant », une bicyclette chinoise très solide.