Pour les Béninois, l’océan n’est pas un espace ludique mais une divinité

Publié le 7 mars 2018

Méline MALIFOT est une Française qui vit au Bénin depuis 2015. Elle travaille à l’Institut français de Cotonou. Méline a beaucoup aidé notre envoyée spéciale sur place. Quand Tatiana lui a soumis les questions des globe-reporters du Collège de Bourbon à La Réunion sur les plages, elle a bien sûr accepté d’y répondre.

DEVELOPPEMENT DURABLE ET ENVIRONNEMENT

C’est toujours avec un sourire et une grande écoute que Méline MALIFOT reçoit notre envoyée spéciale quand cette dernière vient à l’Institut français. Dès la première rencontre, quand Tatiana arrive, cahier en main avec de nombreuses questions, Méline partage son carnet d’adresses et ses contacts. C’est ainsi que Tatiana bénéficie de conseils pour organiser ses déplacements dans le pays et sa vie quotidienne à Cotonou et pour rencontrer des interlocuteurs et interlocutrices afin de réaliser les interviews envoyées par les globe-reporters. Cette collaboration désintéressée se transforme vite en amitié et voilà que Méline MALIFOT devient une de ces personnes piliers de cette aventure Globe Reporters 2018 au Bénin.

Lorsque son travail lui en laisse le temps, Méline MALIFOT va souvent en bord de mer. Elle peut donc répondre à cette interview sur la fréquentation des plages et la pratique des sports nautiques à Cotonou.

Pour Tatiana, cette interview est aussi une excuse afin de présenter Méline à tous les globe-reporters. Les journalistes en reportage ne peuvent pas travailler sans la collaboration de personnes qui résident sur le terrain d’enquête. Parfois, ces personnes que nous pourrions appeler des " sources ", deviennent des amis.

Méline nous raconte : " Je me sens très bien ici au Bénin, c’est mon quotidien et je l’aime. Ce pays aura toujours une place dans mon cœur ".

Sources photographiques

La force des marées et des vagues sur les côtes béninoises repoussent les gens qui se baignent pour le plaisir.
La force des marées et des vagues sur les côtes béninoises repoussent les gens qui se baignent pour le plaisir.
La plage de Cotonou est pleine des paillotes où les habitants de la ville vont les week-ends pour passer la journée et manger face à l’océan.
La plage de Cotonou est pleine des paillotes où les habitants de la ville vont les week-ends pour passer la journée et manger face à l’océan.
Méline MALIFOT s’occupe des cours de français, des certifications et de la francophonie à l’Institut français de Cotonou.
Méline MALIFOT s’occupe des cours de français, des certifications et de la francophonie à l’Institut français de Cotonou.
Méline MALIFOT estime que le Bénin est un pays riche et coloré qu’il faut découvrir.
Méline MALIFOT estime que le Bénin est un pays riche et coloré qu’il faut découvrir.
La force des marées et des vagues sur les côtes béninoises repoussent les gens qui se baignent pour le plaisir.
La plage de Cotonou est pleine des paillotes où les habitants de la ville vont les week-ends pour passer la journée et manger face à l’océan.
Méline MALIFOT s’occupe des cours de français, des certifications et de la francophonie à l’Institut français de Cotonou.
Méline MALIFOT estime que le Bénin est un pays riche et coloré qu’il faut découvrir.

Sources sonores

  • Qui êtes-vous et que faites-vous au Bénin ?

  • Est-ce que vous allez à la plage et est-ce que la baignade est surveillée ?

  • Y a-t-il des dangers lors de la baignade ?

  • Y a-t-il des drapeaux de couleurs pour prévenir des dangers ?

  • Y a-t-il beaucoup de sports nautiques pratiqués ? Si oui lesquels ?

  • Est-ce que, du fait de la proximité de la ville, l’on surveille les risques de pollution ?

  • La pêche est-elle aussi une pratique sportive ou seulement un métier ?

  • Y a-t-il beaucoup de poissons ? Quelles sont les espèces les plus nombreuses ?

  • Est-ce que la plongée sous-marine est pratiquée ? Y a-t-il un club de plongée ?

  • Question bonus : que représente pour vous le Bénin ?

  • Question bonus : vous avez beaucoup aidé notre envoyée spéciale dans sa mission au Bénin. Pourquoi avez-vous accepté de participer à Globe Reporters ?