Le Liban et le réchauffement climatique

Publié le 27 novembre 2016

Antonio Troya est directeur et coordinateur des programmes chez UICN, le Centre de Coopération pour la Méditerranée basé à Malaga en Espagne. Antonio Troya répond aux questions de Ana Cristina, Joanna, Chekinael, Audrey, Kouassi, Tracy Vo du Collège Français de Montréal.

Notre planète : Etat des lieux

Le réchauffement climatique crée des problèmes différents selon les régions de la planète. Partant de l’idée que l’union fait la force, les pays ont tendance à se regrouper pour faire entendre leur voix. La zone Méditerranée se mobilise, car elle fait déjà face à d’importants problèmes de sécheresse.

Antonio Troya lors d’une conférence à la COP 22

Sources sonores

  • Pouvez-vous présenter ?

  • Comment le réchauffement climatique affecte-t-il le cycle de l’eau en Méditerranée ?

  • Que fait le gouvernement libanais pour les Syriens qui viennent au pays et qui sont affectés par le réchauffement climatique ?

  • Comment les habitants du Liban réagissent-ils vis-à-vis la déforestation des cèdres ?

  • Quels sont les effets les plus importants du réchauffement climatique dans les villes ?

  • Quelle mesure a été mise en place afin de ralentir le réchauffement climatique au Liban ?

  • Même si le Liban pouvait être capable de réduire sa vulnérabilité par rapport au réchauffement climatique, que pourrait-il faire pour réduire les gaz à effets de serre ?

  • D’ici 2020, le changement climatique pourrait provoquer des décès supplémentaires dont 2483 à 5254 par an au Liban. Comment pourrait-on l’éviter ?

  • Est-ce que ça veut dire que le réchauffement climatique affecte déjà les habitants de la Méditerranée ?