Victor NEGRESCU : « Ce qui est important est de toujours vouloir changer le monde »

Publié le 4 avril 2019

Les globe-reporters de la classe de Seconde du lycée Charlemagne, à Paris, questionnent Victor NEGRESCU, ancien ministre des Affaires européennes de Roumanie.

Economie, histoire et politique

Joindre un homme politique n’est pas une mince affaire pour les journalistes, surtout quand celui-ci est en pleine campagne pour les élections européennes de mai 2019. C’est le cas de Victor NEGRESCU, que les globe-reporters du Lycée Charlemagne sollicitent pour connaître son point de vue sur des questions européennes. Victor NEGRESCU est bien placé pour parler du projet européen. A 33 ans, il a déjà été ministre des Affaires européennes jusqu’à sa démission en automne 2018. C’est aussi l’ancien plus jeune eurodéputé roumain et désormais le conseiller honorifique sur les questions européennes aux côtés de la Première ministre roumaine, Viorica DIANCILA. Il est donc logique que Monsieur Victor NEGRESCU se pré-sente aux élections européennes 2019 sous les couleurs du Parti social-démocrate (PSD), le parti au pouvoir.

Dans un premier temps, notre envoyée spéciale essaye de contacter M NEGRESCU par mail, via son site internet. En vain. En lisant sa biographie, Marine LEDUC découvre qu’il a travaillé dans la même revue qu’elle, la revue francophone Regard qui est publiée en Rouma-nie. Notre envoyée spéciale demande au rédacteur en chef s’il a le contact de Victor NE-GRESCU. Celui-ci lui répond qu’il ne l’a plus depuis longtemps, mais lui donne le mail d’une autre journaliste qui « connaît tout le monde ». De fil en aiguille, Marine réussit à obtenir le nu-méro de l’ancien ministre.

Le rendez-vous fixé, elle le rencontre dans son bureau à l’École Nationale d’Études adminis-tratives et politiques de Bucarest (SNSPA), où il est vice-recteur et professeur. Malgré un emploi du temps très chargé, il prend le temps de répondre à nos questions.

Reportage réalisé en avril 2019

Sources photographiques

L’École Nationale d’Études administratives et politiques de Bucarest (SNSPA) se situe au nord de la ville, à côté du parc d’exposition Romexpo et d’autres universités.
L’École Nationale d’Études administratives et politiques de Bucarest (SNSPA) se situe au nord de la ville, à côté du parc d’exposition Romexpo et d’autres universités.
Le bâtiment de l’école.
Le bâtiment de l’école.
Nous avons rendez-vous au 8ème étage. Notre reporter emprunte l’ascenseur VIP desti-né aux professeurs. Un ascenseur en verre qui permet de voir toute la ville.
Nous avons rendez-vous au 8ème étage. Notre reporter emprunte l’ascenseur VIP desti-né aux professeurs. Un ascenseur en verre qui permet de voir toute la ville.
Le couloir du 8ème étage.
Le couloir du 8ème étage.
Victor NEGRESCU dans son bureau.
Victor NEGRESCU dans son bureau.
L’École Nationale d’Études administratives et politiques de Bucarest (SNSPA) se situe au nord de la ville, à côté du parc d’exposition Romexpo et d’autres universités.
Le bâtiment de l’école.
Nous avons rendez-vous au 8ème étage. Notre reporter emprunte l’ascenseur VIP desti-né aux professeurs. Un ascenseur en verre qui permet de voir toute la ville.
Le couloir du 8ème étage.
Victor NEGRESCU dans son bureau.

Sources sonores

  • Pouvez-vous vous présenter ?

  • Que pensez-vous du passage à l’Euro pour la Roumanie ? Est-ce un atout pour l’Europe ? Pour la Roumanie ?

  • Que pensez-vous du fait que la Roumanie soit en passe de rejoindre l’espace Schengen ?

  • Voulez-vous bien nous exposer les raisons de votre démission récente des Affaires eu-ropéennes ?

  • Question bonus : Avez-vous démissionné à cause de tendances eurosceptiques au sein du gouvernement et de votre parti (PSD) ?

  • Question bonus : Vous êtes maintenant conseiller honorifique de la Première ministre, en quoi cela consiste-t-il ?

  • Question bonus : Quels sont les points principaux de votre programme pour les élections européennes ?

  • Quel bilan tirez-vous de l’action menée par Corina CRETU en tant que membre de la Commission européenne ?

  • Quelle est votre position sur l’éventuelle entrée de la Turquie dans l’Union européenne ?

  • Question bonus : Vous êtes aussi pour l’entrée de la République de Moldavie, comment expliquez-vous cette position ?

  • Avez-vous un message pour les jeunes reporters ?

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