Twist, pompon, afro ou mini-coupe ? On se coiffe comment au Cameroun ?

Publié le 16 janvier 2024

La rédaction en chef de la filière Coiffure et esthétique du lycée Élisa LEMONNIER (Paris 12e) souhaite interviewer de jeunes Camerounais au sujet de leur coiffure. Deux jeunes employés d’un salon de coiffure de Douala répondent à leurs questions.

Education et jeunesse

Les globe-reportrices de 1ère et terminale en filière Coiffure et esthétique du lycée Élisa LEMONNIER (Paris 12e) demandent à notre envoyé spécial au Cameroun, le journaliste Raphaël KRAFFT, de rencontrer de jeunes Camerounais pour les interroger sur l’importance de leur coiffure.

Bien qu’il soit déjà allé plusieurs fois en Afrique dans le cadre de son métier, Raphaël ne s’était jamais posé la question de l’importance de la coiffure dans les sociétés africaines. De plus, la rédaction demande spécifiquement que Raphaël rencontre des jeunes.

Après avoir interpellé plusieurs personnes dans les rues de Douala sans parvenir à les convaincre de répondre aux questions des jeunes Parisiennes, Raphaël entre dans un salon de coiffure pour expliquer sa démarche. Rose, la gérante, dans un premier temps, rechigne en prétextant qu’il lui faudrait l’autorisation de son patron, le propriétaire du salon. Elle l’appelle, mais il est injoignable.

C’est alors que commence une longue discussion entre Rose et ses collègues coiffeurs. La gérante se laisse finalement convaincre, mais insiste pour prendre le temps de se maquiller et de s’apprêter avant l’interview.

Rose s’avère être une interlocutrice parfaite : âgée de 22 ans, elle connaît très bien son métier. Mannequin, elle montre à Raphaël toutes les coiffures qu’elle porte selon son humeur et les occasions sur son compte Instagram.

L’un de ses collègues, Eugène, est également très actif sur les réseaux sociaux pour faire la promotion de son art de la coiffure. Une interview ? Eugène, surnommé Arrangeur feeling, accepte volontiers.

Nous avons donc une interview croisée avec 2 regards sur la coiffure à la camerounaise d’hier et d’aujourd’hui.

Un reportage réalisé le 12 janvier 2024

Sources photographiques

Rose, mannequin et gérante d’un salon de coiffure © Globe Reporters
Rose, mannequin et gérante d’un salon de coiffure © Globe Reporters
Rose, mannequin et gérante d’un salon de coiffure © Globe Reporters
Rose, mannequin et gérante d’un salon de coiffure © Globe Reporters
Rose avec une coiffure de type afro © Globe Reporters
Rose avec une coiffure de type afro © Globe Reporters
Rose avec une coiffure de type afro © Globe Reporters
Rose avec une coiffure de type afro © Globe Reporters
Rose avec une coiffure de type crète-afro © Globe Reporters
Rose avec une coiffure de type crète-afro © Globe Reporters
Rose avec une coiffure de type « mini-coupe » © Globe Reporters
Rose avec une coiffure de type « mini-coupe » © Globe Reporters
Rose avec une coiffure de type « perruque métissée » © Globe Reporters
Rose avec une coiffure de type « perruque métissée » © Globe Reporters
Rose avec une coiffure de type « pompon afro » © Globe Reporters
Rose avec une coiffure de type « pompon afro » © Globe Reporters
Rose avec une coiffure de type « pompon afro » © Globe Reporters
Rose avec une coiffure de type « pompon afro » © Globe Reporters
Eugène, coiffeur professionnel © Globe Reporters
Eugène, coiffeur professionnel © Globe Reporters
Rose, Eugène et leur équipe © Globe Reporters
Rose, Eugène et leur équipe © Globe Reporters
Le salon de coiffure de Rose et Eugène © Globe Reporters
Le salon de coiffure de Rose et Eugène © Globe Reporters
Rose, mannequin et gérante d’un salon de coiffure © Globe Reporters
Rose, mannequin et gérante d’un salon de coiffure © Globe Reporters
Rose avec une coiffure de type afro © Globe Reporters
Rose avec une coiffure de type afro © Globe Reporters
Rose avec une coiffure de type crète-afro © Globe Reporters
Rose avec une coiffure de type « mini-coupe » © Globe Reporters
Rose avec une coiffure de type « perruque métissée » © Globe Reporters
Rose avec une coiffure de type « pompon afro » © Globe Reporters
Rose avec une coiffure de type « pompon afro » © Globe Reporters
Eugène, coiffeur professionnel © Globe Reporters
Rose, Eugène et leur équipe © Globe Reporters
Le salon de coiffure de Rose et Eugène © Globe Reporters

Sources sonores

  • Pouvez-vous vous présenter ?

  • Est-ce important de se lisser les cheveux ? Que représente le lissage au Cameroun ?

  • Portez-vous des perruques ou des ajouts ? Que représentent-ils ?

  • Y a-t-il des coiffures traditionnelles au Cameroun ? En portez-vous ?

  • Y a-t-il des coiffures très modernes au Cameroun ?

  • Que pensez-vous des cheveux naturels ?

  • Est-ce que vous connaissez des Camerounais ou Camerounaises vivant en France ?

  • En France, les gens qui ont les cheveux crépus passent beaucoup de temps à les apprêter et cela leur coûte beaucoup d’argent. Est-ce le cas aussi au Cameroun ?

  • Utilisez-vous des marques de cosmétiques françaises pour les cheveux ?

  • Question bonus : Rose, que pensez-vous de Miss Cameroun ?

  • Question bonus : Rose, souhaitez-vous ajouter quelque chose d’important ?

  • Question bonus : Eugène, souhaitez-vous ajouter quelque chose d’important ?