Rendre visible l’invisible, le rôle des « reporters sur la guerre »

Publié le 3 décembre 2018

Delphine MINOUI, journaliste qui collabore notamment avec le journal français Le Figaro, répond aux globe-reporters et globe-reportrices.

Le métier de journaliste

Depuis plus de 2 décennies, Delphine couvre l’actualité au Moyen-Orient. Elle a vécu dans différents pays ; Téhéran en Iran, le Caire en Égypte. Depuis quelques années, elle vit à Istanbul en Turquie, d’où elle raconte les événements de toute la région.


Delphine à Tunis en novembre 2018

Delphine est également l’auteure de plusieurs livres. Elle est lauréate du Prix Albert Londres 2006 pour ses reportages en Iran et en Irak. Delphine MINOUI est présente aux 1ère Assises internationales du journalisme qui se déroulent à Tunis.

Elle accepte de répondre à nos questions, même si elle a de nombreux rendez-vous dans le cadre de cet événement.

Un entretien réalisé en novembre 2018 à Tunis et actualisé en septembre 2021

Sources sonores

  • Pourquoi acceptez-vous de répondre aux questions des globe-reporters ?

  • Comment travaillez-vous dans un pays en guerre ?

  • Est-ce dangereux de couvrir la guerre ?

  • Le journaliste peut-il participer à rétablir la paix ?

  • Réussissez-vous à garder votre objectivité face à votre pays ?

Téléchargements

Les partenaires de la campagne

  • 04 Assises du journalisme
  • 01 Ministère de la Culture et de la Communication