Pour ne pas tomber dans le piège des fake news, il faut se méfier de nos émotions
Publié le 26 mai 2022
Chiara, Emir, Kassandra, Wiliiam, Denisa réalisent l’interview d’Anne KERLOC’H, rédactrice en chef à 20 minutes. Ce média a lancé un chaîne consacrée aux fake news sur Snapshat.
Information ou désinformation ?
Notre petite rédaction a choisi comme thème d’enquête la vérification de l’information. Ce sujet est au cœur d’une table ronde des Assises 2022 du journalisme qui est intitulée : « quand les journalistes se plantent, du devoir de rectifier ses erreurs ».
Le site des Assises nous apprend que pour cet échange sont invités : Avec Annick DUBIED, professeure ordinaire en journalisme Directrice de l’Académie du Journalisme et des médias de l’Université de Neuchâtel et vice-présidente du Conseil de Presse Suisse ; Loris GUÉMART, rédacteur en chef adjoint pour Arrêt sur images ; Anne KERLOC’H, rédactrice en chef de 20 minutes ; Gilles VAN KOTE, directeur délégué aux relations avec les publics pour Le Monde. Le débat est animé par Yann GUÉGAN, vice-président du Conseil de Déontologie Journalistique et de Médiation (CDJM).
Après avoir vu cette liste des intervenants, notre choix se porte sur Anne KERLOC’H. Nous allons donc lui demander si elle est disponible pour répondre à nos questions après sa conférence, qui doit durer 1h30. Elle accepte tout de suite notre proposition.
Nous assistons à la conférence, très intéressante. Anne KERLOC’H reconnait que des erreurs sont possibles lors de la rédaction d’articles. Il arrive aussi que des infos soient détournées ou contestées par des personnes voulant diffuser des fake news. 20 minutes a aussi noué un partenariat avec Facebook pour le service « fact checking ».
Après avoir écouté la conférence, nous avons ensuite rédigé une interview avec une dizaine de questions que nous sommes allés lui poser. Anne répond avec beaucoup de franchise. Nous la remercions pour le temps qu’elle nous a consacré.
