Nicaise TEOSSOCK et Sami NKUH, deux jeunes espoirs de la scène camerounaise, ont la musique de leur pays en héritage

Publié le 14 janvier 2024

Blaise, Valentino, Julie, Charlotte, Shannon, Noam, Elwan du lycée Hôtelier Guillaume TIREL (Paris 14e) souhaitent savoir comment la musique traditionnelle camerounaise s’adapte à la modernité. Nicaise THEOSSOCK et Sami NKUH, deux jeunes espoirs de la scène musicale camerounaise, répondent à leurs questions.

Culture et francophonie

Blaise, Valentino, Julie, Charlotte, Shannon, Noam, Elwan du lycée Hôtelier Guillaume Tirel (Paris 14e) proposent à notre envoyé spécial au Cameroun, le journaliste Raphaël KRAFFT, d’aller à la rencontre d’un DJ camerounais. Le premier rendez-vous ne correspond pas aux attentes des globe-reporters et globe-reportrices : le DJ ne parvient pas à répondre à toutes les questions.

Coup de chance (Il en faut toujours un peu pour un reportage réussi) ! Le jour même, Raphaël croise dans une exposition de peintures Sami NKUH, un jeune guitariste. Rendez-vous est pris le lendemain pendant la répétition du concert qu’il doit donner le soir même à l’Institut français de Douala.

Dans les travées de la salle de spectacle, Raphaël croise la chanteuse Nicaise THEOSSOCK que Sami à invitée en « guest » pour le concert. Deux sources d’information valent mieux que deux : Raphaël lui propose de participer à l’interview.

Comme il le fait toujours lorsqu’il interviewe des musiciens, Raphaël demande à Sami de prendre sa guitare pendant l’interview pour jouer des extraits de morceaux. Sami se prête au jeu : sitôt installés dans la loge des artistes, Sami se lance dans une petite improvisation à destination des globe-reporters. Il joue des rythmes typiquement camerounais pour illustrer ses propos.

Cerise sur le gâteau, Nicaise et Sami interprètent « en exclusivité » et « en direct live » pour Globe reporters un des titres qu’ils vont jouer pendant le concert quelques heures plus tard pour conclure la rencontre avec Raphaël.

Un reportage réalisé le 12 janvier 2011

Sources photographiques

L’affiche du concert de Sami NKUH à l’Institut français de Douala © Globe Reporters
L’affiche du concert de Sami NKUH à l’Institut français de Douala © Globe Reporters
Après l’interview avec Nicaise THEOSSOCK et Sami NKUH dans la loge des artistes © Globe Reporters
Après l’interview avec Nicaise THEOSSOCK et Sami NKUH dans la loge des artistes © Globe Reporters
Nicaise THEOSSOCK et Sami NKUH sur scène © Globe Reporters
Nicaise THEOSSOCK et Sami NKUH sur scène © Globe Reporters
Nicaise THEOSSOCK et Sami NKUH sur scène © Globe Reporters
Nicaise THEOSSOCK et Sami NKUH sur scène © Globe Reporters
À seulement 26 ans, Sami NKUH est entouré des meilleurs musiciens camerounais, ici avec le bassiste Michel ELOUMOU © Globe Reporters
À seulement 26 ans, Sami NKUH est entouré des meilleurs musiciens camerounais, ici avec le bassiste Michel ELOUMOU © Globe Reporters
Sami NKUH sur la scène de l’Institut français de Douala © Globe Reporters
Sami NKUH sur la scène de l’Institut français de Douala © Globe Reporters
Sami NKUH sur la scène de l’Institut français de Douala © Globe Reporters
Sami NKUH sur la scène de l’Institut français de Douala © Globe Reporters
La musique est présente partout à Douala, ici un magasin de matériel de musique © Globe Reporters
La musique est présente partout à Douala, ici un magasin de matériel de musique © Globe Reporters
Le « grand » Manu DIBANGO à l’honneur dans un maquis (bar) de Douala © Globe Reporters
Le « grand » Manu DIBANGO à l’honneur dans un maquis (bar) de Douala © Globe Reporters
L’affiche du concert de Sami NKUH à l’Institut français de Douala © Globe Reporters
Après l’interview avec Nicaise THEOSSOCK et Sami NKUH dans la loge des artistes © Globe Reporters
Nicaise THEOSSOCK et Sami NKUH sur scène © Globe Reporters
Nicaise THEOSSOCK et Sami NKUH sur scène © Globe Reporters
À seulement 26 ans, Sami NKUH est entouré des meilleurs musiciens camerounais, ici avec le bassiste Michel ELOUMOU © Globe Reporters
Sami NKUH sur la scène de l’Institut français de Douala © Globe Reporters
Sami NKUH sur la scène de l’Institut français de Douala © Globe Reporters
La musique est présente partout à Douala, ici un magasin de matériel de musique © Globe Reporters
Le « grand » Manu DIBANGO à l’honneur dans un maquis (bar) de Douala © Globe Reporters

Sources sonores

  • Pouvez-vous vous présenter ?

  • Quel est le type de musique le plus présent dans les boites de nuit ?

  • Est-ce que la musique traditionnelle est toujours présente dans les fêtes, boites de nuit ?

  • Voyez-vous l’influence de la musique étrangère sur la musique camerounaise ?

  • En tant que Camerounais, ressentez-vous l’importance de la musique traditionnelle dans votre culture ?

  • Voyez-vous l’avènement de la technologie comme un élément destructeur pour la musique traditionnelle ?

  • Selon vous quelle est l’importance de la musique traditionnelle chez les jeunes Camerounais et Camerounaises aujourd’hui ?

  • Ressentez-vous un choc des générations, une division entre les personnes plus âgées qui continue d’écouter des musiques traditionnelles et les plus jeunes qui sont ouverts à la musique internationale et commerciale ?

  • Comment la musique traditionnelle arrive à trouver sa place dans la société actuelle ? Est-ce que les concerts de musique traditionnelle attirent autant de public qu’avant ?

  • Morceau musical

  • Morceau musical et chant

Sources vidéo

Nicaise et Sami « en exclusivité » et « en direct live » pour Globe reporters