Abdelatif Maamar est employé au ministère de l’agriculture. Les plantes et les animaux, il s’y connait. Il a acheté une parcelle d’un hectare dans la palmeraie de Tozeur. Après sa journée de travail, son plaisir est d’entretenir ce qu’il appelle son "jardin". Il partage avec les journalistes en herbe ses connaissance de l’art des cultures sur 3 étages. Première partie de l’interview.
Beaucoup d’arbres fruitiers dont des bananiers.
Ca suffit pour aujourd’hui.
Dans les regards, parfois il n’y a pas que de l’eau. La présence de cette grenouille qui prend le regard pour une piscine indique que la qualité de l’eau est bonne.
Du réservoir principal, l’eau s’écoule par cannalisation vers des petits réservoirs qu’on appelle des regards.
Erreur. Cette palmeraie est mal entrenue. Celle que nous cherchons est la palmeraie voisine..
Il s’agit de ne pas gaspiller cette précieuse eau.
Le bouchon du regard enlevé, l’eau s’écoule.
Nous voici à l’entrée de la palmeraie d’Abdelatif. La différence se remarque immédiatement.
Pendant que l’eau se répend, Abdelatif courre d’un regard à l’autre pour irriguer toutes les plantations.
Pour faire reposer la terre, un système semblable à la jachère est mis en place. Il faut tout de même irriguer pour étancher la soif des palmiers. Dans les zones non cultivées, l’herbe s’installe. Elle sert à nourrir les animaux.
Sur la gauche, le réservoir d’eau qui irrigue toute la parcelle.
Un regard irrigue quatre parcelles.
Une manoeuvre effectuée sous bonne garde.
L’émission Echappées belles (France5) a consacré un reportage à la Tunisie, dont une partie se passe à Tozeur