Rachid est originaire de l’archipel des Kerkennah. Aujourd’hui, il vit sur le continent. En sa compagnie, nous retournons à la maison familiale aujourd’hui inhabitée. C’est l’occasion de découvrir l’habitat traditionnel de cette région de Tunisie.
Le village de Chergui où se trouve la maison.
A 20 mêtres de la maison, le bord de mer.
Ancien mur de pierre qui s’écroule.
Batisse du village à l’abandon.
Batisse du village à l’abandon.
Batisse du village à l’abandon.
Batisse du village à l’abandon.
C’est l’hiver, le moment d’entretenir les embarcations.
Construction moderne.
Derrière la maison. Ici aussi, il ne reste plus rien du verger.
L’entrée de derrière, celle par où entraient les amis du chef de famille.
L’entrée de la propriété.
La chambre de droite.
La chambre de gauche.
La maison d’un cousin de la famille. Avant, on ne construisait pas de maison avec étage.
La maison et le seul palmier survivant.
La porte d’entrée.
La vue depuis le seuil de la maison. Il ne reste plus rien de l’ancien verger.
Le banc de la maison qui change de place au cours de la journée pour pouvoir se reposer à l’ombre.
Le patio construit sur la citerne où l’eau de pluie est receuillie.
Pan de mur recouvert de ciment qui résiste moins bien que les parties couvertes de chaux vive.
Pas de soudure pour résister au sel marin.
Pendant longtemps, c’est une éolienne qui a alimenté la maison en électricité. L’électricité publique est arrivée au début des années 1980.
Une maison traditionnelle "modernisée".
Une maison voisine en construction. La pierre traditionnelle est abandonnée.