Les globe-reporters de l’école des Quatre Saisons à Mont-Saint-Jean enquêtent sur la crise des déchets au Liban. Sidonie HADOUX, pose leurs questions à Labib AKIKI, président de la municipalité d’Antoura, Mona ISSA, agent de développement, et Charlotte AYOUB, membre du conseil municipal.

Environnement et transition énergétique

Quand Sidonie HADOUX rencontre Sarah ARBEZ de l’organisation Liban Cités Unies, au début de son séjour, cette dernière lui propose de l’aider à rencontrer des élus des municipalités libanaises afin qu’ils.elles répondent aux questions des globe-reporters. Sidonie rencontre tout d’abord Béchir ODEIMI, Président de Cités Unies Liban et Directeur du Bureau Technique des Villes Libanaises, et Houda ODEIMI, Responsable du développement et de la coordination. 

Suite à leurs échanges, Béchir et Houda proposent plusieurs contacts à notre journaliste, susceptibles de pouvoir répondre aux interviews préparées par les globe-reporters. Expert.e.s de leurs territoires, Béchir et Houda proposent de rencontrer des élus qui ont mis en place des initiatives concrètes sur le traitement des déchets par exemple. 

Le jour de la réunion, Labib AKIKI, est rejoint par Mona ISSA, agent de développement local, également en charge du traitement des déchets. À leur côté, Charlotte AYOUB est également membre du conseil municipal.

À la fin de la rencontre, Sidonie est invitée à leur rendre visite une fois que le confinement sera levé. Ce ne sera malheureusement pas pour cette fois, mais notre journaliste reviendra, et ne manquera pas de passer par Antoura. 

Un grand merci à eux.elles pour leur participation et pour leur générosité.

Une interview réalisée en janvier 2021

Sources photographiques

Afin de sensibiliser les habitants au tri des déchets à la source, la municipalité a invité les élèves du collège Saint-Joseph à devenir les ambassadeurs de l’initiative ©Municipalité d’Antoura

Inauguration du centre de tri et de compost de la commune en 2016 ©Municipalité d’Antoura

Le travail de sensibilisation n’a pas été simple. Labib AKIKI explique qu’ils ont arrêté de ramasser les poubelles non triées ©Municipalité d’Antoura

Le village d’Antoura se situe à une vingtaine de kilomètres au nord de Beyrouth, sur les hauteurs du mont-Liban. Antoura compte environ 4 000 habitants ©Municipalité d’Antoura

Les élèves du collège Saint-Joseph ont fait du porte-à-porte afin de sensibiliser les habitants au tri, et à l’utilisation des poubelles de couleur ©Municipalité d’Antoura

Lors de l’inauguration du centre de tri, à Antoura, en 2016 ©Municipalité d’Antoura

Sources sonores

• Labib HAKIKI - Pouvez-vous vous présenter ?

• Charlotte AYOUB - Pouvez-vous vous présenter ?

• Mona ISSA - Pouvez-vous vous présenter ?

• Labib HAKIKI - Pouvez-vous nous présenter la ville d’Antoura ?

• Labib HAKIKI - Pouvez-vous nous expliquer la crise déchets au Liban ?

• Labib HAKIKI - Cela fait longtemps que vous recyclez à Antoura ?

• Labib HAKIKI - De quelle manière cette crise a-t-elle été un tournant dans votre gestion des déchets ?

• Labib HAKIKI - Est-ce que gouvernement libanais prend en charge le recyclage des déchets ?

• Labib HAKIKI - Finalement les citoyens de la municipalités ont proposé de participer au tri des déchets ?

• Labib HAKIKI - Qui paye pour la collecte des déchets ?

• Charlotte AYOUB - Comment avez-vous sensibilisé la population au tri des déchets ?

• Mona ISSAB - Une fois collectés, à Antoura, où vont les déchets ?

• Mona ISSAB - Y-a-t-il beaucoup de décharges sauvages au Liban ?