La Roumanie, un bastion de la francophonie

Publié le 13 janvier 2019

Michel MONTSAURET travaille à l’Institut français de Bucarest depuis avril 2017. Plus précisément, il est attaché de coopération éducative, c’est-à-dire qu’il s’occupe de développer la francophonie et l’enseignement du français en Roumanie. Il répond aux questions d’Aimine et Hadrien, du lycée Einstein à Sainte-Geneviève des Bois et des globe-reporters du collège Jean Lafosse, à Saint-Louis (La Réunion).

CULTURE ET FRANCOPHONIE

Notre envoyée spéciale a contacté Michel MONTSAURET bien avant de partir, pour lui demander de l’aider à trouver des contacts sur place. L’ambassade de France est partenaire de la campagne Globe Reporters. 

Son bureau est situé à l’Institut français de Bucarest, qui se trouve au n°77 du boulevard Dacia, dans le centre de Bucarest. Dans le quartier, il y a beaucoup d’ambassades et d’institutions étrangères. L’Institut français est un lieu chargé d’histoire : il a ouvert en 1936, à une époque où les relations entre la France et la Roumanie étaient très fortes. Il est installé dans une ancienne maison de boyards (c’est comme ça qu’on appelait les nobles roumains), le bâtiment est très grand.

Aujourd’hui encore, l’Institut est une vitrine pour la langue française : on y trouve une médiathèque, un cinéma qui marche très bien et des salles de cours pour apprendre le français. Des événements y sont organisés régulièrement.

Sources photographiques

Michel Montsauret, attaché de coopération éducative
Michel Montsauret, attaché de coopération éducative
L’Institut français de Bucarest est installé dans une très belle et grande maison. C’est une ancienne demeure de boyards, les nobles roumains.
L’Institut français de Bucarest est installé dans une très belle et grande maison. C’est une ancienne demeure de boyards, les nobles roumains.
L’institut est situé au n°77 du boulevard Dacia, dans le centre de Bucarest.
L’institut est situé au n°77 du boulevard Dacia, dans le centre de Bucarest.
L’entrée de l’institut, avec une colonne qui ressemble à celles qu’on trouve à Paris.
L’entrée de l’institut, avec une colonne qui ressemble à celles qu’on trouve à Paris.
A l’intérieur, il y a une magnifique galerie centrale, toute en bois sculpté.
A l’intérieur, il y a une magnifique galerie centrale, toute en bois sculpté.
La médiathèque.
La médiathèque.
L’espace jeunesse de la médiathèque.
L’espace jeunesse de la médiathèque.
La médiathèque compte même un petit coin jeux vidéo... en français bien sûr !
La médiathèque compte même un petit coin jeux vidéo... en français bien sûr !
Derrière l’institut, il y a une salle de cinéma, qui attire beaucoup de spectateurs. Il s’appelle Elvire Popesco, du nom d’une actrice franco-roumaine du XXe siècle.
Derrière l’institut, il y a une salle de cinéma, qui attire beaucoup de spectateurs. Il s’appelle Elvire Popesco, du nom d’une actrice franco-roumaine du XXe siècle.
L’une des rues de Bucarest qui porte le nom d’un Français : le journaliste Jean-Louis Calderon, qui a été écrasé par un char pendant la révolution de 1989, qu’il était venu couvrir.
L’une des rues de Bucarest qui porte le nom d’un Français : le journaliste Jean-Louis Calderon, qui a été écrasé par un char pendant la révolution de 1989, qu’il était venu couvrir.
Michel Montsauret, attaché de coopération éducative
L’Institut français de Bucarest est installé dans une très belle et grande maison. C’est une ancienne demeure de boyards, les nobles roumains.
L’institut est situé au n°77 du boulevard Dacia, dans le centre de Bucarest.
L’entrée de l’institut, avec une colonne qui ressemble à celles qu’on trouve à Paris.
A l’intérieur, il y a une magnifique galerie centrale, toute en bois sculpté.
La médiathèque.
L’espace jeunesse de la médiathèque.
La médiathèque compte même un petit coin jeux vidéo... en français bien sûr !
Derrière l’institut, il y a une salle de cinéma, qui attire beaucoup de spectateurs. Il s’appelle Elvire Popesco, du nom d’une actrice franco-roumaine du XXe siècle.
L’une des rues de Bucarest qui porte le nom d’un Français : le journaliste Jean-Louis Calderon, qui a été écrasé par un char pendant la révolution de 1989, qu’il était venu couvrir.

Sources sonores

  • Pouvez-vous vous présenter ?

  • Pourquoi les Roumains parlent-ils le français ?

  • Les Roumains apprennent-ils le français à l’école ?

  • Qu’évoque pour eux la langue française ?

  • Que représente la France pour eux ?

  • Pensez-vous que le français soit indispensable dans l’enseignement en Roumanie ?

  • Quelle place tient le français en Roumanie ? Quelle est sa place par rapport à l’anglais ?

  • Comment sont les relations entre la France et la Roumanie ? Sont elles très développées ?

  • La culture française est-elle présente en Roumanie ? Existe-t-il des rues, des places, des bâtiments qui portent des noms français célèbres ?

  • Des personnes originaires de France vivent-elles en Roumanie ?

  • Est-ce que les écoliers roumains étudient l’Histoire de la France ?

  • Question bonus : Qu’est-ce que vous faites pour développer la francophonie ?

  • Question bonus : Avez-vous un message pour les globe-reporters ?