En 2007, un documentaire sur les conséquences du réchauffement climatique sur les populations de pingouins a fait prendre conscience de l’urgence au sculpteur Nour-Edine Znati qui s’est dit : « Il faut que je fasse quelque chose ».
La COP22 est un très long alignement de bâtiments.
Dans l’allée centrale au milieu des jardins fraîchement aménagés trônent de curieux animaux, des oiseaux essentiellement. La particularité de ces animaux : ils ont tous été réalisés à partir de pots d’échappement de voitures et de motos. Chaque sculpture évoque une question liée au réchauffement climatique, comme ces 3 oiseaux qui représentent les réfugiés climatiques.
L’artiste, Nour-Edine Znati assis sur un banc explique la signification de ces œuvres.
Œuvre de Nour-Edine Znati
Œuvre de Nour-Edine Znati
Œuvre de Nour-Edine Znati
Œuvre de Nour-Edine Znati
Œuvre de Nour-Edine Znati
Œuvre de Nour-Edine Znati
Œuvre de Nour-Edine Znati
Œuvre de Nour-Edine Znati
Œuvre de Nour-Edine Znati
Œuvre de Nour-Edine Znati
Œuvre de Nour-Edine Znati
Œuvre de Nour-Edine Znati
Œuvre de Nour-Edine Znati
Œuvre de Nour-Edine Znati
Œuvre de Nour-Edine Znati
Œuvre de Nour-Edine Znati
Œuvre de Nour-Edine Znati
Œuvre de Nour-Edine Znati
Œuvre de Nour-Edine Znati
Œuvre de Nour-Edine Znati
Œuvre de Nour-Edine Znati
Nour-Edine Znati à la COP 22