C’est comment l’école à Focsani ?

Publié le 15 mars 2019

Alina DIMA est la directrice de l’école Ion BASGAN, à Focsani. Elle répond aux questions des globe-reporters de l’école de la rue de l’Ourcq, à Paris.

Education et jeunesses

Pour parler de l’école primaire, notre envoyée spéciale interroge la directrice de l’école Ion BASGAN, dans la petite ville de Focsani. C’est un établissement qui regroupe école primaire et collège.

Elle souhaite aussi faire parler les élèves. Mais il n’est pas courant, en Roumanie, que les enfants de primaire parlent bien le français. Pour trouver ces perles rares, Élodie se tourne alors vers l’École centrale de Bucarest. Dans cette école, qui va du primaire au lycée, on apprend le français plus qu’ailleurs, depuis la première année de primaire. Beaucoup de parents inscrivent leurs enfants dans cette école pour cette raison, et aussi parce qu’elle a une très bonne réputation.

L’envoyée spéciale y rencontre des élèves d’une classe de 4e. En Roumanie, c’est la dernière classe du niveau primaire (qui va de la première à la quatrième). Quand on est en 4e, on a autour de 10 ans.

Elle va les voir une première fois, pour leur présenter le projet et les questions des globe-reporters. Elle y retourne une semaine plus tard pour enregistrer leurs réponses, pour leur laisser le temps de se préparer, avec l’aide de leur professeure de français. Il y a beaucoup d’élèves volontaires et enthousiastes pour répondre ! En revanche, il n’est pas possible de faire des photos à l’intérieur de la classe.

L’École centrale est très grande : elle accueille environ 1 600 élèves. Il n’y a pas de salles de classe pour tout le monde en même temps, alors certains élèvent ont cours l’après-midi, d’autres le matin. Par exemple, les primaires viennent seulement le matin. L’après-midi, ils rentrent chez eux ou bien vont à « l’after school » (« l’après-école », en anglais), où ils font leurs devoirs et d’autres activités. Les parents doivent payer pour cela.

Sources photographiques

Alina DIMA, la directrice de l’école Ion Basgan.
Alina DIMA, la directrice de l’école Ion Basgan.
L’école Ion BASGAN de Focsani est à la fois une école primaire et un collège.
L’école Ion BASGAN de Focsani est à la fois une école primaire et un collège.
Une des salles de classe du primaire.
Une des salles de classe du primaire.
Au fond de la classe, des étagères pour ranger le matériel.
Au fond de la classe, des étagères pour ranger le matériel.
La bibliothèque.
La bibliothèque.
La salle informatique.
La salle informatique.
Des dessins accrochés dans le couloir.
Des dessins accrochés dans le couloir.
La cour de récré est petite et ne comporte aucun jeu.
La cour de récré est petite et ne comporte aucun jeu.
Le gymnase.
Le gymnase.
La salle des professeurs.
La salle des professeurs.
De gauche à droite : Sara, Eva et Briana, élèves en 4e à l’École centrale de Bucarest.
De gauche à droite : Sara, Eva et Briana, élèves en 4e à l’École centrale de Bucarest.
L’École centrale de Bucarest est à la fois une école primaire, un collège et un lycée. C’est un établissement très réputé, où on peut apprendre le français dès le plus jeune âge.
L’École centrale de Bucarest est à la fois une école primaire, un collège et un lycée. C’est un établissement très réputé, où on peut apprendre le français dès le plus jeune âge.
La porte de la classe des 4e A.
La porte de la classe des 4e A.
La cantine, au sous-sol. Très peu d’écoles ont une cantine en Roumanie.
La cantine, au sous-sol. Très peu d’écoles ont une cantine en Roumanie.
Au menu, ce jour-là : soupe aux choux-fleurs, poulet et petits pois à la sauce tomate.
Au menu, ce jour-là : soupe aux choux-fleurs, poulet et petits pois à la sauce tomate.
Le personnel de la cantine passe servir les enfants à leur table.
Le personnel de la cantine passe servir les enfants à leur table.
Alina DIMA, la directrice de l’école Ion Basgan.
L’école Ion BASGAN de Focsani est à la fois une école primaire et un collège.
Une des salles de classe du primaire.
Au fond de la classe, des étagères pour ranger le matériel.
La bibliothèque.
La salle informatique.
Des dessins accrochés dans le couloir.
La cour de récré est petite et ne comporte aucun jeu.
Le gymnase.
La salle des professeurs.
De gauche à droite : Sara, Eva et Briana, élèves en 4e à l’École centrale de Bucarest.
L’École centrale de Bucarest est à la fois une école primaire, un collège et un lycée. C’est un établissement très réputé, où on peut apprendre le français dès le plus jeune âge.
La porte de la classe des 4e A.
La cantine, au sous-sol. Très peu d’écoles ont une cantine en Roumanie.
Au menu, ce jour-là : soupe aux choux-fleurs, poulet et petits pois à la sauce tomate.
Le personnel de la cantine passe servir les enfants à leur table.

Sources sonores

  • Pouvez-vous vous présenter ?

  • À quelle heure commence et se termine l’école ?

  • Est-ce qu’il y a une cour de récréation ?

  • Est-ce qu’il y a des ordinateurs ?

  • Est-ce qu’il y a une salle des maîtres et maîtresses ?

  • Est-ce qu’il y a une bibliothèque dans l’école et dans les classes ?

  • À quoi ressemble la sonnerie ?

  • Combien y a-t-il de classes dans l’école et d’élèves par classe ?

  • Est-ce qu’il y a des activités en dehors de l’école ?

  • Est-ce qu’il y a des professeurs de sport, musique et dessin ?

  • Est-ce que les enfants vont à la piscine ?

  • Est-ce que les repas sont préparés à l’école ?

  • À quoi on joue dans la cour ? Est-ce qu’il y a des toboggans, des terrains de sport, des vélos ?

  • Est-ce que vous avez des jeux dans la classe ?

  • Est-ce que les élèves travaillent seuls, en groupe ou en collectif ?

  • Est-ce que vous fêtez les anniversaires ?

  • Est-ce que vous faites des sorties ?

  • La sonnerie de l’école Ion BASGAN.

  • Les réponses de Briana de l’École centrale.

  • Les réponses d’Eva de l’École centrale.

  • Les réponses de Sara de l’École centrale.

  • Les réponses de Matei de l’École centrale.

Téléchargements

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  • Fondation SNCF
  • Institut français de Roumanie