" Avant de montrer des images de morts, il faut penser à la famille, à l’impact, à ce que l’on veut raconter… ", Nabila EL HADAD

Publié le 21 novembre 2018

Nabila EL HADAD est photojournaliste indépendante. Elle répond aux questions des globe-reporters Omar, Anis, Malik et Sourour venus du lycée Mahmoud Messaadi de Sousse pour couvrir les 1eres Assises du journalisme en Tunisie.

Assises du journalisme de Tunis

C’est une organisatrice des 1eres Assises internationales du journalisme de Tunis qui nous a conseillé de rencontrer Nabila EL HADAD. La photojournaliste n’est pas facile à trouver : elle ne perd pas de temps dans les couloirs, mais enchaîne les ateliers. Nous la retrouvons finalement à la pause déjeuner.

Nous nous installons à l’extérieur de la cité de la Culture qui accueille les assises, afin de nous éloigner du bruit et prendre un peu l’air après une matinée où nous sommes restés enfermés.

Nabila EL HADAD est basée en France, à Clermont-Ferrand. Mais la plupart de ses reportages ont lieu à l’étranger. Elle est par ailleurs membre du studio de création Hans Lucas, à Paris.

Sources photographiques

Les globe-reporters prennent des notes et filment l’entretien pour en garder une trace plus précise.
Les globe-reporters prennent des notes et filment l’entretien pour en garder une trace plus précise.
Nabila EL HADAD redoutait de passer de ce côté du micro, elle l’a pourtant vite oublié
Nabila EL HADAD redoutait de passer de ce côté du micro, elle l’a pourtant vite oublié
Nabila EL HADAD est aujourd’hui photojournaliste, mais elle a commencé sa carrière dans la presse écrite et la radio.
Nabila EL HADAD est aujourd’hui photojournaliste, mais elle a commencé sa carrière dans la presse écrite et la radio.
Les globe-reporters prennent des notes et filment l’entretien pour en garder une trace plus précise.
Nabila EL HADAD redoutait de passer de ce côté du micro, elle l’a pourtant vite oublié
Nabila EL HADAD est aujourd’hui photojournaliste, mais elle a commencé sa carrière dans la presse écrite et la radio.

Sources sonores

  • Pourquoi avoir choisi le photojournalisme comme métier ?

  • Avec quel matériel travaillez-vous ?

  • À quel point l’image touche-t-elle le public ?

  • Quel genre d’images faites-vous ?

  • Que ressentez-vous quand vous prenez des images difficiles, par exemple de guerre, de mort ?

  • Est-ce que les photos de presse sont toujours réelles ou sont parfois artificielles ?

  • Pouvez-vous nous raconter une expérience qui vous a marquée dans le cadre de votre travail ?

Téléchargements

Les partenaires de la campagne

  • Institut français de Tunisie
  • Mairie de Paris