À la CITIM « on n’oriente pas les travailleurs vers des secteurs ou des filières, mais vers ce que ce que les gens veulent faire et devenir » !

Publié le 10 janvier 2020

Tessa, Hélèna, Éva, Emma, Chiara et Romane sont les globe-reportrices du collège Paul VERLAINE à Paris. Elles réalisent une enquête sur l’intégration des immigrants au Québec et veulent interviewer des personnes de la CITIM (Clef pour l’Intégration au Travail des Immigrants). Notre reporter sur place rencontre Véronique RIEL, conseillère à l’emploi de la CITIM.

ECONOMIE, HISTOIRE ET POLITIQUE

Dès son arrivée à Montréal, notre envoyée spéciale, la journaliste Marine LEDUC contacte la CITIM grâce aux coordonnées fournies par ses rédactrices en chef. L’objectif est d’obtenir un rendez-vous dès que possible.

Après plusieurs appels, Marine est mise en contact avec Madalina VLASCEANU qui est la chargée de la promotion et des partenariats de la CITIM. C’est Mme VLASCEANU qui propose une date et une heure de rendez-vous avec Véronique RIEL, conseillère à l’emploi. Mais un peu de patience, car Marine doit attendre la mi-décembre pour réaliser l’interview. Le rendez-vous fixé, notre envoyée spéciale peut donc travailler tranquillement à ses autres enquêtes, sachant qu’elle trouvera des réponses à nos questions plus tard.

Le jour venu, pour se rendre sur place, Marine descend au métro Berri-UQAM, puis marche quelques minutes pour rejoindre le 1595 rue Saint-Hubert. Elle est accueillie chaleureusement par Madalina et Véronique.

Une interview réalisée en décembre 2019

Sources photographiques

Un panneau à l’entrée de la CITIM.
Un panneau à l’entrée de la CITIM.
Un tableau d’accueil à la CITIM.
Un tableau d’accueil à la CITIM.
Véronique RIEL dans son bureau.
Véronique RIEL dans son bureau.
Un document qui explique d’où viennent les participants de la CITIM.
Un document qui explique d’où viennent les participants de la CITIM.
Le bâtiment qui accueille la CITIM, au 1595 rue Saint-Hubert.
Le bâtiment qui accueille la CITIM, au 1595 rue Saint-Hubert.
La rue Saint-Hubert à Montréal.
La rue Saint-Hubert à Montréal.
Un panneau à l’entrée de la CITIM.
Un tableau d’accueil à la CITIM.
Véronique RIEL dans son bureau.
Un document qui explique d’où viennent les participants de la CITIM.
Le bâtiment qui accueille la CITIM, au 1595 rue Saint-Hubert.
La rue Saint-Hubert à Montréal.

Sources sonores

  • Pouvez-vous vous présenter et nous parler de la CITIM ?

  • Question bonus : On entend dire que le 1er juillet est la journée du déménagement au Québec. Qu’est-ce que cela signifie ?

  • Vers quels secteurs les immigrés sont-ils le plus orientés lors de leur arrivée dans l’association ?

  • Question bonus : Pourquoi citez-vous l’exemple d’Arnold Schwarzenegger à celles et ceux que vous accueillez ?

  • En moyenne, en combien de temps les immigrants arrivent-ils à se réintégrer dans la vie active (travail, logement, etc.) ?

  • Comment les immigrants sont-ils accueillis sur le territoire québécois ? Est-il compliqué pour eux d’avoir accès aux services sociaux ?

  • Suite à leur intégration, les immigrants peuvent-ils se voir proposer un poste dans l’association ?

  • Les immigrants peuvent-ils obtenir facilement la nationalité québécoise ?

  • Combien de temps les enfants mettent-ils en moyenne à s’intégrer (école, activités sportives, artistiques... ) ? L’école publique accueille-t-elle les enfants immigrés gratuitement ou faut-il obtenir la nationalité québécoise ?

  • Est-il facile pour les immigrés de se loger au Québec ?

  • Que pensez-vous de la position du nouveau premier ministre, M.Legault, qui compte diminuer de 20% le nombre d’immigrants et de réfugiés que le Québec accueille chaque année ? (Source : Le Monde du 29 novembre 2018)

  • Selon un sondage, datant d’il y a un an, la majorité des Québécois soutenait l’instauration d’une loi interdisant le port de signes religieux ostentatoires pour les employés de l’état en position d’autorité. Qu’en est-il maintenant que la loi est appliquée ? (Source : radio Canada - novembre 2018)

  • Question bonus : Avez-vous un message pour les globe-reportrices ?