380 élèves rédacteurs en chef, 27 enseignants de France métropolitaine et outremer, 6 semaines de reportage, 10 journalistes dont 8 parrains et marraines, 53 spécialistes interviewés, plus de 10h30 d’entretiens, 350 photos…
Bilans et rapports annuels
Pour vivre ensemble dans un monde médiatisé, Globe Reporters propose à des jeunes de découvrir la diversité des cultures de la francophonie en coréalisant des enquêtes avec des journalistes. Ce projet pédagogique s’inspire des réalités du monde des médias. Les classes ou groupes de jeunes deviennent des " rédactions " en contact avec des journalistes professionnels qui jouent le rôle d’envoyés spéciaux. Les globe-reporters et leurs pédagogues choisissent les sujets de reportage, se documentent et élaborent les interviews. Sur le terrain, les journalistes ont pour mission de trouver des personnes francophones en mesure de leur répondre.
Les journalistes Tatiana Miralles et Alain Devalpo ont formé le binôme avec lequel les élèves ont été en correspondance. Alain Devalpo est journaliste indépendant depuis 1997, collaborateur de nombreux médias (Radio France Internationale, France Culture, Radio Suisse Romande, etc), auteur de plusieurs livres dont deux ouvrages " jeunesse ". Alain Devalpo collabore avec le rectorat de Paris depuis l’année 2007 et est un des fondateurs de Globe Reporters. Tatiana Miralles a travaillé pendant 15 ans pour Radio France Internationale avant de partir 5 années en République démocratique du Congo pour une ONG espagnole.
Le travail des journalistes est de solliciter les personnes les mieux informées pour répondre aux questions des jeunes. Rares sont les refus. Au total, 53 spécialistes dans leurs domaines respectifs ont répondu aux questions envoyées par les globe-reporters à leur envoyée spéciale.
Au total, 64 articles sont désormais en ligne et disponibles pour les pédagogues. Cela représente 10h30 d’entretiens (549 pastilles sonores d’une durée moyenne de 1’15), 348 photos libres de droits, 14 vidéos et 43 textes qui répondent aux questionnements des journalistes en herbe sur le Bénin.
Pour en savoir plus, le bilan est en téléchargement au pied de l’article.
